❢ J’ai découvert ce journal avec sourire et légèreté. Certes, l’auteur nous parle quand même de problèmes plutôt “graves”, même si elle est consciente de ne pas non plus être tombée dans les problème les plus grave liés à la nutrition. On n’est pas dans un récit à propos de l’anorexie/boulimie. Sans me retrouver personnellement dans ce que l’auteur décrit, on ne peut renier les similitudes dans certains comportements ou habitudes adoptées au fil des années.
❢ On peut se targuer de n’avoir rien à faire des diktats physiques imposés par les magazines, je pense qu’on est quand même sensibilisé –voire culpabilisé- quand au-delà de l’apparence, les sujets traitent de la santé. Et chacun réagit à sa façon : avec modération ou en total compulsivité de comptage et de contrôle.
❢ Dans ce livre, Carole-Anne Eschenazi explique comment, à 35 ans, elle a plus ou moins réussi à se sortir d’une spirale infernale, la ballotant d’une extrême à l’autre. Elle aborde ses soucis avec beaucoup de légèreté. Elle n’apporte pas non plus de solution à tous les problèmes que l’on pourrait se poser sur le sujet, mais nous rapporte son expérience et comment elle envisage la suite de “sa vie” sans tomber dans le pathos. Un récit qui se dévore plutôt rapidement et qui m’a fait tiquer –positivement- sur plusieurs points.
Ah, on est totalement culpabilisés par la pression sociale. Il faut être comme çi et comme ça. L'apparence, ma pauvre Dame 🙁 C'est bien qu'elle y raconte son témoignage de la sortie de la spirale sans venir conter de manière exhaustive les pathologies et les solutions possibles. Et puis la légèreté ne peut que plaire.
Yep! C'était sympa d'avoir un truc léger 🙂 (AHAH poids/léger) 🙂
C'est sur qu'on est bien culpabilisés avec ce foutu diktat de l'apparence! On peut difficilement passer à travers. Ce témoignage doit être intéressant, et c'est bien que ça reste léger car c'est un sujet plutôt plombant.
C'est tournée de manière plutôt sympathique.
Si tu veux, je peux te l'envoyer 🙂
Autant lui donner une seconde vie!
pardin… *tourné 🙂