Lu en septembre 2004
La lecture du dernier Nothomb est devenue chez moi une tradition à la fin du mois d’août. Et pour cette rentrée, le lecteur peut se réjouir : ce roman contient 240 pages, soit près d’une centaine de plus que les derniers édités.
Pour l’histoire, tout est dans le titre et expliqué par le quatrième de couverture : « La faim, c’est moi! ». Nous sommes donc transportés du Japon à la Belgique, en passant par New York et le Bengladesh, au fil des souvenirs d’Amélie Nothomb. Ici, c’est la période qui s’étend de ses 5 ans à ses 22 ans qui s’offre à nous lecteurs.
Au fil des pages, nous comprenons pourquoi la faim, c’est elle.
J’ai apprécié ce « roman », qui nous transporte dans un voyage dans l’espace-temps, nourris de détails précis et par le style particulier de cette auteur.
Ma note : 4 étoiles
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