Après Les arcanes du chaos, et avant la Théorie de Gaia, ce bouquin est le deuxième tome d’une nouvelle trilogie sur le mal.
Malheureusement, ce n’est pas parce qu’on a les bons ingrédients, qu’on réussit sa recette à chaque fois. Là, je pense que Maxime Chattam a foiré sa cuisson. Mettre le four à 250° au lieu de 180°… ça sent forcément le brûlé!
J’avais été enchantée par sa première trilogie (surtout par In tenebris, aussi effroyable que palpitant) et triste de quitter Joshua Brolin.
Prédateurs trônait sur ma Pile à lire depuis sa sortie, il y a plus d’un an. C’était un peu comme un rituel d’avoir toujours un Chattam sous le coude, avant la sortie du suivant. Histoire de me rassurer… Maintenant, il en sera tout autrement, et je ne vais pas me ruer pour acheter la Théorie.
Inutile de le cacher plus longtemps… je suis hyper déçue!!!
L’intrigue se déroule sur un fond de guerre. Boue et mitraillettes, un cadre pas très folichon. Je tente de passer au dessus de ces images qui ne me plaisent que moyennement pour me plonger dans l’intrigue. Un personnage principal assez mystérieux, un secondaire plutôt flou et une présence féminine déterminée, dans ce monde de brut.
Un premier meurtre lance l’intrigue. D’une part j’avais envie de résoudre cette énigme, d’autre part, je me suis sentie un peu rebutée par cette violence gratuite, le gore dans lequel le récit bascule.
Habituellement, ce genre de thriller ne me dégoute pas outre-mesure… mais là, bof.
A mesure qu’on avance dans les pages, le côté cracra s’intensifie. Par contre, malgré les rebondissement, l’intrigue ne me passionnait pas.
A mainte reprises, ce livre a faillit tomber dans le fonds des livres non finis…
Je me suis obstinée à aller jusqu’au bout pour tout de même découvrir qui était le tueur.
Maxime Chattam nous engage sur des pistes habilement, mais je lui reprocherais de tirer un peu en longueur. Le rythme s’essouffle.
Je ne sais pas encore si j’irai au bout de la trilogie… enfin pas maintenant en tout cas.
Je vais être dure… mais il le faut… 2 étoiles.
Prédateurs, Albin Michel, 2007, 459 pages.
Malheureusement, ce n’est pas parce qu’on a les bons ingrédients, qu’on réussit sa recette à chaque fois. Là, je pense que Maxime Chattam a foiré sa cuisson. Mettre le four à 250° au lieu de 180°… ça sent forcément le brûlé!
J’avais été enchantée par sa première trilogie (surtout par In tenebris, aussi effroyable que palpitant) et triste de quitter Joshua Brolin.
Prédateurs trônait sur ma Pile à lire depuis sa sortie, il y a plus d’un an. C’était un peu comme un rituel d’avoir toujours un Chattam sous le coude, avant la sortie du suivant. Histoire de me rassurer… Maintenant, il en sera tout autrement, et je ne vais pas me ruer pour acheter la Théorie.
Inutile de le cacher plus longtemps… je suis hyper déçue!!!
L’intrigue se déroule sur un fond de guerre. Boue et mitraillettes, un cadre pas très folichon. Je tente de passer au dessus de ces images qui ne me plaisent que moyennement pour me plonger dans l’intrigue. Un personnage principal assez mystérieux, un secondaire plutôt flou et une présence féminine déterminée, dans ce monde de brut.
Un premier meurtre lance l’intrigue. D’une part j’avais envie de résoudre cette énigme, d’autre part, je me suis sentie un peu rebutée par cette violence gratuite, le gore dans lequel le récit bascule.
Habituellement, ce genre de thriller ne me dégoute pas outre-mesure… mais là, bof.
A mesure qu’on avance dans les pages, le côté cracra s’intensifie. Par contre, malgré les rebondissement, l’intrigue ne me passionnait pas.
A mainte reprises, ce livre a faillit tomber dans le fonds des livres non finis…
Je me suis obstinée à aller jusqu’au bout pour tout de même découvrir qui était le tueur.
Maxime Chattam nous engage sur des pistes habilement, mais je lui reprocherais de tirer un peu en longueur. Le rythme s’essouffle.
Je ne sais pas encore si j’irai au bout de la trilogie… enfin pas maintenant en tout cas.
Je vais être dure… mais il le faut… 2 étoiles.
Prédateurs, Albin Michel, 2007, 459 pages.
Bonjour !
Bon, en effet, je crois que je vais passer… et éviter une autre déception. Tu as tout à fait raison, ce n’est pas parce qu’on a une bonne idée, les bons ingrédients que cela réussit ! Et il faut parfois changer sa recette !!!
À bientôt
Laila