La tradition de la fin du mois d’août, c’est de s’offrir le dernier Nothomb, qui sort pour la rentrée littéraire. Voici déjà plusieurs années que je n’y coupe pas. Généralement un roman pas très épais qui se lit assez rapidement, mais également assez satisfaisant. La seule fois où j’ai lâché un Nothomb, c’était “Attentat”, il y a un peu plus d’un an. (C’était un rattrapage pour les années où je ne me ruait pas encore en librairie pour l’acheter dès sa sortie). Bon je n’ai pas été bien loin avec ce titre, mais peut-être que ce n’était pas le bon moment. Bref, avec Ni d’Eve ni d’Adam, Amélie nous transporte dans son Japon natal bien aimé. On revit avec elle une époque qui l’a définitivement marqué. Dans ce roman, on retrouve l’Amélie du temps de Stupeur et tremblements. Alors que dans le premier, on la découvrait en désastreuse employée dans une entreprise nippone, ici, on la retrouve dans une histoire d’amour à la Amélie… L’histoire débute alors qu’elle dépose une annonce pour donner des cours de français. De cette manière, elle espère également améliorer sa pratique du japonais. C’est ainsi qu’elle fait la rencontre de Rinri, un jeune tokoyte un peu spécial. A ces côtés, elle va découvrir les habitudes des jeunes japonais universitaires. Ces pré-adultes vivent une parenthèse dans cette vie effrénée et n’ont qu’une envie… “jouer”. Le récit d’Amélie Nothomb est parsemé d’histoires dingues et de situations concasses. C’est aussi à cette époque qu’Amélie s’est lancée dans le monde de l’écriture. J’ai bien apprécié ce roman : il se lit vite, n’assomme pas le lecteur, offre des paysages très jolis et surtout… m’a donné envie de nouilles et de sushis! Les critiques divergent sur ce bouquin, mais en y réfléchissant, les critiques divergent toujours à propos de titres d’Amélie Nothomb. Je lui ai donné 3,5 étoiles et vous invite à le lire… vous n’y perdrez pas votre temps.
C’est grâce à une amie que j’ai découvert Amélie Nothomb et il me reste tellement de livres à lire que je ne sais pas par où commencer ^^ Mais ce qui est sûr et certain, c’est que je les aurais tous un jour au l’autre 😀
ça se lit assez vite donc…
mon premier c’était hygiène de l’assassin… so premier 😉
j’étais toujours à l’école. J’avais beaucoup aimé.
Pourquoi ne pas le reprendre dans l’ordre chronologique 😉
j’ai commencé à la lire avec Mercure, ensuite j’ai acheté les précédents en Poche, puis en grand format chaque année lol
Oui, j’avoue j’adore Nothomb lol
J’avais bien aimé Mercure! 😉
Si j’avais une note à donner, ce serait un petit 2,5… C’est beau, c’est gai, c’est léger… mais ca laisse un curieux goût d’inachevé !
chezpapito.over-blog.com
Peut-être pour en garder un peu pour plus tard… qui sait 😉
Celui là est sympa mais Hygiène de l’assassin reste indépassé !
Ca remonte (dans ma mémoire), mais c’est vrai que j’en ai gardé un très bon souvenir!!
J’ai beaucoup de respect pour Amélie Nothomb lorsque je vois les dizaines et dizaines de jeunes qui font la file chaque année à la Foire du Livre de Bruxelles plusieurs heures avant l’arrivée de l’auteur. Il n’y a qu’elle pour susciter un tel engouement. Qu’on aime ou déteste ce qu’elle écrit, je lui tire mon chapeau de rendre le goût de la lecture aux jeunes (c’est loin d’être donné à tout le monde!).
Personnellement, j’ai lu trois livres d’Amélie : j’ai détesté “Hygiène de l’assassin”, j’ai aimé “Les catilinaires” et j’ai adoré “Ni d’Eve, ni d’Adam”.