B : Burroughs Augusten – Déboire : 3,5 étoiles


Augusten, 25 ans, travaille dans l’univers impitoyable de la publicité à New-York. Hanté par son jeune passé, stressé par son boulot, il se libère l’esprit, généreusement, dans l’alcool. Pointé du doigt par sa collègue et ses supérieurs, Augusten doit finalement envisager une cure de désintox. Il choisit un centre gay et décalé pour faire plaisir à cet entourage. Va-t-il remonter la pente? La redescendre? A lire pour découvrir la suite!

Augusten Bourroughs raconte son histoire de manière plutôt humoristique. Même si le destin du héros est assez catastrophique, il nous fait sourire. Au départ, son style est assez dynamique, la lecture avance assez vite. Dans la seconde partie, je me suis un peu enlisée, à certains moments, dans le texte d’Augusten. L’histoire était moins “drôle”, j’avais moins envie de savoir, de découvrir ce qui allait arriver. Peut-être parce qu’il y avait une évidence, peut-être parce que les situations sont moins concasses. Néanmoins, j’ai bien apprécié cette lecture. Le récit que je trouvais essoufflé, reprend vie et à la fin je n’ai pas été déçue.
Même si j’ai un peu de mal à exprimer mon avis… (Voilà déjà plus d’une semaine que je la traine).

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